L’intelligence artificielle bouleverse le secteur de la santé en améliorant aussi bien la prise en charge des patients que les conditions de travail des professionnels. Diagnostic plus rapide, assistance aux praticiens, personnalisation des soins… Les avancées sont considérables et offrent de belles perspectives pour l’avenir.
1. Une avancée en faveur du diagnostic et de la prévention auprès des patients
L’IA ouvre de nouvelles perspectives pour le suivi et le traitement des patients. Grâce aux algorithmes de machine learning, les logiciels d’analyse d’imagerie médicale peuvent repérer des anomalies invisibles à l’œil nu, améliorant ainsi le taux de détection des cancers, maladies cardiovasculaires et troubles neurologiques.
Parmi les principales avancées :
- Un diagnostic plus rapide et précis. L’analyse d’images médicales (radiographies, IRM, scanners) avec une précision accrue permet aux médecins de détecter plus tôt certaines pathologies comme le cancer.
- Des soins personnalisés. L’analyse des données médicales par l’IA aide à proposer des traitements sur mesure en fonction du profil de chaque patient.
- Une meilleure accessibilité aux soins. Les applications et chatbots de santé assistés par IA facilitent le suivi des traitements et apportent des réponses immédiates aux questions des patients.
Le cas du CHU de Nantes pour la détection précoce du cancer colorectal
Le CHU de Nantes est un très bon exemple de l’utilisation de l’IA au bénéfice des patients. En effet, il utilise cette dernière pour identifier les signes précoces du cancer colorectal grâce à l’analyse automatisée des images médicales. En combinant intelligence artificielle et expertise humaine, cette approche permet :
- Une détection plus rapide et fiable des lésions précancéreuses
- Une réduction des erreurs de diagnostic
- Une prise en charge plus précoce, augmentant ainsi les chances de guérison
Dans une vision plus large, le CHU de Nantes s’inscrit dans le projet de l’hôpital de demain, où l’IA joue un rôle clé dans l’optimisation des parcours de soins et la gestion des infrastructures hospitalières. L’établissement investit dans des technologies avancées pour fluidifier les flux de patients, améliorer la coordination entre les services et anticiper les besoins médicaux grâce à l’analyse prédictive des données de santé.
L’objectif est de créer un hôpital intelligent, capable d’offrir une médecine plus réactive, plus précise et toujours plus humaine. Ce modèle illustre comment l’IA peut non seulement améliorer la détection et le traitement des maladies, mais aussi transformer la gestion hospitalière pour une prise en charge plus efficace et personnalisée des patients
2. Une aide précieuse pour les professionnels de santé
Les médecins et soignants font face à une charge de travail croissante. L’IA apporte des solutions pour les assister dans leur quotidien :
- Automatisation des tâches. La reconnaissance vocale et les assistants intelligents peuvent faciliter la rédaction des comptes-rendus médicaux, la gestion des dossiers patients, ainsi que la prise de rendez-vous, permettant ainsi de libérer du temps aux soignants.
- Optimisation des flux hospitaliers. Grâce à l’analyse prédictive, l’IA permet d’anticiper les besoins en lits et en ressources humaines, améliorant ainsi l’organisation des établissements de santé et tout en réduisant les délais d’attente pour les patients.
- Aide à la décision clinique. L’analyse des big data médicales par l’IA, lui permette de suggérer des traitements et d’alerter les médecins sur des interactions médicamenteuses potentielles.
- Soutien dans la recherche médicale. Le développement de nouveaux médicaments peut être accéléré, grâce à l’identification plus rapide des molécules prometteuses et à l’optimisation des essais cliniques.
En réduisant la charge administrative, en améliorant la gestion des ressources et en facilitant les prises de décision, les avancées de l’IA permettent aux professionnels de santé de se concentrer pleinement sur leur mission principale : le soin aux patients.
3. Un levier stratégique pour la communication digitale en santé
Les besoins en communication des professionnels de santé ne sont pas nouveaux. Besoin de supports, de contenus, de créations… Or, en matière de communication digitale, l’IA offre de nombreuses opportunités pour les acteurs de la santé. Un changement tentant et utile, qui doit toutefois être bien encadré. En effet, son efficacité repose sur une approche stratégique et une expertise humaine. Chez Digisanté, nous combinons innovation technologique et expertise en communication digitale pour accompagner les acteurs de la santé dans leur transformation digitale.
Parmi les leviers potentiels à actionner grâce à l’IA :
- Une communication plus ciblée et efficace basée sur une analyse des comportements et des besoins des internautes pour proposer des contenus personnalisés. Cependant, une stratégie bien pensée et adaptée aux enjeux spécifiques de la santé reste essentielle pour capter l’attention et créer un véritable engagement.
- Des interactions fluides et engageantes grâce aux chatbots et assistants virtuels qui permettent d’améliorer l’expérience utilisateur. Leur mise en place doit être toutefois optimisée pour garantir une information fiable et pertinente.
- Une e-réputation maîtrisée du fait d’une surveillance et d’une analyse constante des avis en ligne. En cas de besoins spécifiques ou de crises potentielles, il est indispensable de se faire accompagner pour ajuster la communication.
4. Une technologie à encadrer
Si l’IA offre de belles perspectives pour la santé, elle soulève aussi des défis éthiques et réglementaires, notamment en matière de protection des données et de transparence des algorithmes. Il est donc essentiel d’encadrer son développement pour garantir une utilisation responsable et bénéfique pour tous.
Chez Digisanté, nous accompagnons les acteurs de la santé à tirer le meilleur parti de l’IA pour renforcer leur visibilité, optimiser leur communication, améliorer l’expérience patient et interagir efficacement avec leur audience.
Envie d’intégrer l’IA dans votre stratégie digitale santé ?
Article rédigé par Chloé RATEAU, social media manager chez Digisanté.
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Chez Digisanté, nous vous offrons des solutions visuelles personnalisées qui s’alignent parfaitement sur votre vision, tout en restant à la pointe des tendances en design graphique. Ce domaine étant en constante évolution, le design graphique est directement influencé par les progrès technologiques et les changements sociaux.
En cette année 2024, nous avons soigneusement sélectionné les tendances graphiques les plus pertinentes pour optimiser vos communications dans le secteur de la santé et du bien-être.
01. Un design inclusif
Représenter la diversité à travers la conception, en utilisant des images vives et positives. L’inclusion dans le design graphique se manifeste par la mise en avant des différentes cultures, teintes de peau et croyances présentes au sein de l’humanité.
Le design graphique inclusif dans le domaine de la santé revêt une importance cruciale pour garantir une communication accessible à un public diversifié. En mettant l’accent sur l’accessibilité, la sensibilisation et la prise en compte des handicaps, ce type de design vise à transcender les barrières linguistiques, culturelles et physiques.
En adoptant ces principes, le secteur de la santé peut s’efforcer de rendre les informations médicales les plus compréhensibles possibles et de refléter des valeurs société plus équitable.
02. IA générative
En 2023, nous avons fait le constat, que l’intelligence artificielle (IA) générative allait devenir de plus en plus courante.
Aujourd’hui, l’IA ne cesse de progresser et de s’améliorer et ces avancées offrent des possibilités créatives novatrices. Cet outil fait partie de notre quotidien, permettant de développer encore plus d’idées créatives.
03. Un design écologique
Au cours des dernières années, l’impératif de sobriété s’est imposé. Cette tendance est aujourd’hui incontournable.
Les codes de cette évolution incluent un style axé sur la « vraie vie » et une utilisation de supports de communication plus écoresponsables (que ce soit pour les sites web ou le print).
Découvrez nos 6 conseils pour être plus écoresponsable dans les métiers du digital.
04. Un design minimaliste
Le design graphique minimaliste incarne une esthétique épurée et puissante. Cette approche privilégie la clarté, l’équilibre et la fonctionnalité, en éliminant le superflu pour créer des compositions visuelles simples et impactantes.
Le design graphique minimaliste, par sa simplicité, se révèle être une esthétique d’une grande pertinence dans le domaine de la santé.
05. Le travail de la typographie
En 2024, l’accent est porté sur le développement novateur et créatif des polices et des compositions textuelles. Cela englobe des expérimentations au niveau de la mise en page, de la taille, de la couleur et du style.
Opter pour des typographies plus audacieuses et personnalisées, en intégrant un mélange de caractères avec et sans empattement, créé ainsi des ruptures visuelles.
Dans le domaine de la santé, une évolution vers des choix typographiques plus modernes et accessibles, mettant en avant la clarté et la communication efficace est attendue. Cette approche s’aligne sur une volonté de rendre l’information médicale plus compréhensible et engageante, tout en renforçant l’identité visuelle des acteurs de la santé.
06. La géométrie et les flux
L’essence de ce style réside dans la fusion de formes géométriques et organiques, visant à instaurer une atmosphère à la fois professionnelle et dynamique. Cette approche se caractérise par sa simplicité, son expressivité et/ou son abstraction.
Conclusion
L’année 2024 s’annonce riche dans le domaine graphique, marquant des progrès technologiques et innovants. Reste à voir si ces mouvements seront confirmés dans les mois à venir !
Article rédigé par Philomène HENRY, graphiste chez Digisanté.
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Le test utilisateur est une étape aux multiples avantages dont il ne faut pas faire l’impasse dans l’UX design, la conception et la réalisation d’un projet.
Le test utilisateur, c’est la méthode d’évaluation digitale incontournable pour une expérience utilisateur réussie. Très simple à mettre en place mais pourtant souvent mise de côté et pour cause : le manque de temps.
Véritable allié pour déceler les potentiels freins et vérifier si le projet correspond à la demande initiale.
Le but final ? Optimiser la satisfaction client tout en ayant une démarche ROIste.
01. Quand faire un test utilisateur ?
Le test utilisateur ne doit pas être uniquement réalisé à la fin d’un projet, celui-ci doit être effectué de manière régulière s’il veut être bénéfique.
- A la phase “maquette” cela permet de voir comment les utilisateurs perçoivent et interagissent, en temps réel, avec le produit/service, et ainsi réajuster avant les phases coûteuses liées au développement.
- En phase “développement”, cela permet de s’assurer du bon fonctionnement du produit final et auxquels cas de procéder aux derniers petits ajustements avant la mise en ligne.
De manière générale, il est important de réaliser des tests utilisateurs ¾ fois par an pour vérifier si le produit/service nécessite des améliorations C’est une excellente méthode de prise de hauteur si l’on souhaite être performant.
02. Quelles sont les différentes méthodes de tests ?
Il existe différentes typologies de tests utilisateurs. Le choix du test peut se faire en fonction des selon les ressources dont on dispose.
- La méthode non-modérée permet aux utilisateurs de réaliser le test en distanciel. C’est la méthode la moins onéreuse et la plus simple à mettre en place. L’utilisateur testé sera enregistré lors de sa navigation via un logiciel test et sa navigation sera évaluée post-test. Un questionnaire avec interrogations ouvertes peut également être envoyé puis validé par entretien téléphonique ou Visio.
Le seul frein à cette méthode de test utilisateur est le niveau de compréhension et d’empathie avec les utilisateurs, certains détails peuvent être perdus ou non perçus par l’évaluateur.
- La méthode modérée nécessite de réaliser le test utilisateur en présentiel. Cette méthode peut être réalisée avec le client ou via un panel d’utilisateurs. Il sera animé par un modérateur formé au produit final. Pendant le test, chaque utilisateur réalise différentes tâches représentatives de l’usage habituel du produit. Des scénarios de tests pré établis viendront placer les utilisateurs dans une situation réaliste d’utilisation quotidienne.
Cette méthode permet d’identifier tous les doutes et d’observer le langage corporel de l’utilisateur pour détecter les freins, doutes et questionnements en temps réel.
03. Quelles informations peut-on recueillir grâce à un test utilisateurs ?
Afin que ces données soient utiles post-test, il est important de définir des objectifs clairs et d’avoir les bons outils en amont (logiciel de test, ressources humaines, temps et surtout d’être neutre dans la démarche afin de ne pas orienter les réponses des testeurs).
Ces dernières peuvent être quantitatives : combien de temps cela a pris à l’utilisateur d’effectuer une tâche, aller d’un point A à un point B, trouver un produit, réaliser un achat… Combien de freins a-t-il rencontrés ?
Et Les réponses aux tests peuvent également être qualitatives : comment l’utilisateur a vécu son expérience? Est-ce qu’il recommanderait ce produit /service ?
04. A quoi vont servir les données recueillies par le test ?
Les données collectées sont capitales et permettront d’évaluer la facilité d’utilisation mais surtout l’expérience globale de l’utilisateur. Elles permettront de vous poser les bonnes questions, de renforcer votre concept créatif, d’ajuster les messages et d’optimiser les points bloquants.
Les données analysées seront transmises aux concepteurs pour qu’ils puissent procéder aux modifications et être au plus juste des attentes des utilisateurs dans leur livraison finale.
10 bonnes pratiques pour un test utilisateur réussi :
- Lancer le test au bon moment, ne pas attendre la fin du projet
- Définir des objectifs clairs
- Choisir la méthode de test adaptée selon ses ressources
- Créer des scénarios concrets en faisant attention aux formulations pour ne pas orienter le testeur
- Prévoir le matériel nécessaire au bon déroulement du test : logiciel d’enregistrement vidéo, questionnaire, salle neutre
- Recruter des profils correspondant aux utilisateurs finaux, si vous faites un test via un panel
- Ne pas orienter les réactions du testeur (si test en présentiel)
- Procéder à un appel de confirmation téléphonique, si test non physique (si test en distanciel)
- Analyser, arbitrer les réponses qualitativement et quantitativement
- Classer les modifications par ordre de priorité et par faisabilité
Le test utilisateur est vraiment LA CLÉ d’une expérience client optimale et l’assurance d’un client final satisfait.
Article rédigé par Coralie RICHARD, Cheffe de projet et Directrice conseil junior chez Digisanté
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La création ou la refonte d’un site internet est un projet technique qui peut être parfois complexe. Quelle méthode utiliser pour optimiser la gestion d’un projet WEB ?
Basé sur l’amélioration continue, le Growth-Driven Design est une approche qui casse les codes pour gagner en efficacité. Qu’est-ce que le Growth-Driven Design ? Comment mettre en place cette approche innovante et quels bénéfices en tirer ?
1. La définition du Growth-Driven Design
Aussi appelé GDD, le Growth-Driven Design suit une approche itérative, c’est-à-dire une approche basée sur un processus de répétition continue. Contrairement aux méthodes traditionnelles consistant à concevoir un site internet en un projet unique, la méthode Growth-Driven Design propose une démarche d’améliorations et d’ajustements continus. En d’autres termes, la méthode GDD repose sur l’idée qu’un site web n’est jamais « terminé » et évolue constamment pour s’adapter aux besoins des utilisateurs et à l’évolution de son environnement.
2. La mise en place du Growth-Driven Design
Pour sa mise en place, des étapes clés sont à suivre afin de garantir la réussite du projet :
• Définition en amont les objectifs et indicateurs
Cette première étape commune à tout nouveau projet est cruciale. Elle n’est pas propre à la méthode du Growth-Driven Design mais elle reste la clé pour bien débuter un projet. Les objectifs définis doivent être le plus “SMART” possibles (Spécifiques, Mesurables, Acceptables, Réalistes et Temporel). Cela permet de définir des indicateurs de performance clés (KPI) à suivre tout au long du projet.
• Lancement de la première version simplifiée
Aussi appelé Launch Pad, cette version minimaliste du site web contient uniquement les fonctionnalités essentielles. C’est à partir de cette version basique que les données seront recueillies pour faire évoluer le site.
• Coordination des équipes
Comme c’est le cas dans toute gestion de projet, optimiser la coordination entre les différentes équipes (chef de projet, développeur, graphiste, UX Designer…) est indispensable. Cette phase permet de mettre en commun les connaissances de chacun pour générer des idées nouvelles.
Appliquée à la méthode du Growth Driven Design, cette étape permet à chacun, en fonction de ses compétences, d’apporter des évolutions à intégrer au processus d’amélioration continue.
• Mise en place de tests et hypothèses
L’expérience utilisateur (UX) est le cœur de cette étape et est vraiment stratégique dans la méthode Growth-Driven Design. L’analyse des données, basée sur la cartographie du parcours client par exemple, donne lieu à la formulation d’hypothèses et la réalisation de tests qui permettront ensuite de prendre des décisions sur la manière de faire avancer le projet.
• Amélioration continue
De manière cyclique, le site sera testé et analysé afin d’effectuer les ajustements nécessaires, toujours dans un souci de performance et d’amélioration continue.
3. Les plus-values du Growth-Driven Design
Économie :
Contrairement à un processus traditionnel qui exige la mobilisation d’importantes ressources financières préalables au projet, en suivant la méthode Growth-Driven Design, l’investissement est plus progressif.
Efficacité :
En gagnant en efficacité lors de la réalisation du site, les retombées sont également meilleures en termes de trafic, leads, etc.
Fléxibilité :
En mettant l’accent sur l’amélioration continue, les ajustements sont rapidement mis en place pour répondre au plus vite aux attentes des utilisateurs.
Rapidité :
Tout projet suivant la méthode Growth-Driven Design, est mis en ligne rapidement avec les fonctionnalités de base, par la suite il est amélioré au fil des semaines.
En résumé, le Growth-Driven Design est une approche moderne et agile. La flexibilité et l’adaptation aux besoins des utilisateurs en sont les maîtres mots. Elle permet d’obtenir des résultats plus efficaces tout en optimisant les ressources et les délais. Chez Digisanté, nous proposons de plus à en plus à nos clients de fonctionner avec cette méthode. Si vous avez un projet de création de site Internet, n’hésitez pas à nous consulter.
Source : blog du modérateur
Article rédigé par Marie Lefief, Chef de projet digital chez Digisanté
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Le test utilisateur, la clé d’une expérience digitale réussie !
11/12/2023
Véritable allié pour déceler les potentiels freins et vérifier si le projet correspond à la demande initiale. Le test utilisateur, c’est la méthode d’évaluation digitale incontournable pour une expérience utilisateur réussie.Lire la suite
Le temps d’attention moyen d’un utilisateur diminue année après année. En 2022, il était de 8 secondes et en 2020 de 12 secondes. Le constat est simple : il est de plus en plus difficile de capter et de retenir l’attention d’un utilisateur sur internet et encore plus sur les réseaux sociaux. Une nouvelle tendance émerge pour pallier ce phénomène : le snack content.
01. Qu’est-ce que le snack content ?
Ce terme anglo-saxon désigne un type de contenu court, dynamique et attractif, qui comme son nom l’indique a la particularité de se consommer rapidement.
On retrouve notamment ces micro contenus sur Tiktok et sur Instagram, tout particulièrement avec la forte mise en avant des formats Réels et Carrousel par l’algorithme. Linkedin n’est pas en reste, avec le développement de la fonctionnalité des Carrousels également.
Dans le métro, en attendant l’ascenseur ou dans une salle d’attente… Scroller est devenu un véritable réflexe pour beaucoup d’entre nous et nous consommons quotidiennement de nombreux contenus sur notre téléphone à la moindre occasion. Le principal défi du snack content est de réussir à susciter de l’intérêt dès les premières secondes, pour mettre fin à cette envie irrépressible de scroller une page ou un fil d’actualité. C’est pourquoi l’accès aux informations doit être facilité et accéléré.
02. Comment employer le snack content dans le milieu de la santé ?
Vulgarisation de termes scientifiques, décryptage de pathologies, témoignages de patients ou de professionnels de santé… La richesse des informations ne manque pas dans le milieu de la santé et les contenus peuvent vite devenir conséquents, et ainsi difficiles à lire ou à regarder jusqu’au bout.
Voici 5 astuces pour réussir à susciter l’engagement de vos communautés à travers le snack content :
- Astuce n°1 : Veillez à ne traiter qu’un seul sujet à la fois pour avoir un contenu plus digeste et spécifique, et ainsi ne pas perdre votre communauté.
- Astuce n°2 : Choisissez bien les informations à mettre en avant, à travers un format adapté. Les Réels et les Carrousels ont actuellement le vent en poupe sur Instagram et pour cause : il s’agit des formats les plus mis en avant par l’algorithme. Par conséquent, ils offrent une visibilité bien supérieure à un post statique et génèrent davantage d’interactions !
- Astuce n°3 : Misez sur une phrase d’accroche captivante en premier visuel de Carrousel ou en couverture de Réels, afin de donner l’envie de lire ou de regarder la suite de la publication.
- Astuce n°4 : Segmentez vos informations et les répartir sur plusieurs slides. En plus de rendre le contenu plus attractif en lui-même, cela permet d’augmenter le temps passé sur la publication et une nouvelle fois de marquer des points auprès des algorithmes. Avantage supplémentaire : cela permet de terminer la publication par un appel à l’action en dernière intention.
- Astuce n°5 : Recyclez vos contenus sous un nouvel angle. Un sujet déjà traité peut l’être de nouveau d’une toute autre façon et pourra potentiellement toucher de nouvelles personnes. Il faut également garder à l’esprit qu’un.e abonné.e ne verra pas l’entièreté des contenus créés par les comptes qu’il.elle suit du fait de l’algorithme et de son activité sur les réseaux sociaux.
Quelques exemples de publications Instagram réalisées pour notre client Appel Médical, leader du recrutement médical et paramédical en France.
Plus que jamais, le snack content est à intégrer à sa stratégie digitale et tout particulièrement social media, pour une communication digitale efficace et apporter un maximum de visibilité à ses contenus.
Article rédigé par Chloé RATEAU, social média manager chez Digisanté.
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Dans un monde en constante évolution numérique, les professionnels du digital jouent un rôle important. Cette transformation rapide peut aussi avoir un impact négatif sur l’environnement si les pratiques ne sont pas guidées par des principes éco-responsables. Pour les acteurs du secteur digital, il est primordial d’intégrer des stratégies durables dans leur travail quotidien. Chez Digisanté, nous sommes social media manager, développeur, graphiste, motion designer… Voici 6 conseils pour être éco-responsable dans les métiers du digital.
🌿 Sensibiliser pour être éco-responsable dans les métiers du digital
L’éco-responsabilité dans le digital ne se limite pas aux actions individuelles, mais englobe également la sensibilisation des clients, des collègues et du grand public. Informer sur les enjeux environnementaux et partager des bonnes pratiques peut encourager une prise de conscience collective et une adoption généralisée de comportements durables.
🌿 Choisir des hébergements et des clouds éthiques
L’hébergement sur des serveurs éco-responsables et l’utilisation de services cloud basés sur des énergies renouvelables contribuent considérablement à réduire l’impact environnemental. Opter pour des fournisseurs certifiés écologiques et promouvoir une utilisation responsable des ressources sont des actions cruciales.
🌿 Favoriser le télétravail et la mobilité douce
La digitalisation a facilité le télétravail, réduisant ainsi la nécessité de déplacements quotidiens. Les entreprises peuvent encourager cette tendance en favorisant le télétravail, ce qui réduit les émissions liées aux trajets domicile-travail. La team Digisanté prend essentiellement les transports en communs pour se rendre à l’agence et nous sommes deux fois par semaine en télétravail pour limiter au maximum notre impact. De plus, nous privilégions les réunions en ligne avec nos clients, plutôt que les déplacements physiques, ce qui contribue également à réduire notre empreinte carbone.
🌿 Développer et concevoir des solutions durables
Les concepteurs et développeurs ont le pouvoir de créer des solutions numériques éco-responsables dès la phase de conception. Chez Digisanté, nous privilégions les designs épurés. En optimisant le code, nous pouvons également réduire la demande de ressources informatiques et améliorer les temps de chargement, tout en offrant une expérience utilisateur fluide.
🌿 Des moteurs de recherche engagés
Des moteurs de recherche qui mettent en avant leur engagement envers la durabilité et la protection de l’environnement. Quelques exemples de moteurs de recherche écolos : Ecosia, Lilo et Ecogine. Deuxièmement, privilégiez les liens directs lors d’une recherche sur le web. Sauvegarder des pages en favoris, cela diminue les requêtes faites aux serveurs et ainsi, diminuer leur consommation d’énergie.
🌿 Faire de la veille durable
Les technologies évoluent rapidement, offrant constamment de nouvelles opportunités pour réduire l’impact environnemental du secteur digital. Il est crucial de rester informé sur les innovations et les meilleures pratiques en matière de durabilité. Chez Digisanté, nous intégrons des avancées pertinentes à nos stratégies pour maintenir nos engagements éco-responsables.
Prêt(e)s à mettre en place ces conseils éco-responsables dans vos métiers du digital ?
En intégrant ces bonnes pratiques éco-responsables, vous contribuerez à réduire l’impact environnemental tout en maintenant une efficacité opérationnelle et en participant à la construction d’un avenir numérique durable.
➡️ Découvrez notre charte environnementale et téléchargez les 11 éco-gestions de la Digiteam
Article rédigé par Camille Bellair, Social Media Manager chez Digisanté
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Être designer, rédacteur, créateur, musicien, artiste ou encore artisan implique de faire preuve de créativité. Cependant, trouver l’inspiration peut parfois s’avérer difficile. Chez Digisanté, nous utilisons cinq conseils efficaces, issus d’une formation menée par Sensipode (que nous remercions chaleureusement), pour développer notre potentiel créatif et libérer notre imagination.
Prêt à laisser parler votre génie artistique ? Suivez le guide !
1. Se centrer sur l’utilisateur
Quel que soit votre secteur d’activité, comprendre les besoins de votre audience est essentiel pour proposer des concepts créatifs adaptés. Le Design Thinking, une méthode de conception centrée sur l’humain, est un outil puissant pour atteindre cet objectif. Parmi les différentes techniques disponibles, citons la Mind Map, l’Empathy Map, la User Journey, le Persona, le Double Diamant, et bien d’autres. Ces outils vous permettront d’identifier les habitudes, goûts, besoins, problèmes… de vos cibles et ainsi vous permettre de création des dispositifs créatifs adaptés.
Pour affiner la connaissance de vos cibles, vous pouvez également mener des enquêtes sur le terrain pour observer et discuter directement avec elles. Cette démarche vous permettra de vous mettre à leur place et de répondre à leurs besoins, en tenant compte des informations recueillies grâce à leurs témoignages et à votre écoute.
En adoptant cette approche empathique, vous serez en mesure de créer des solutions créatives qui résonnent véritablement avec votre public cible.
2. Penser avec ses mains
Pour la phase de conceptualisation, fermez votre ordinateur et éteignez tout écran autour de vous. Préparez-vous un espace dédié à la créativité pour laisser libre cours à votre imagination en expérimentant avec vos mains. Découpage, sculpture, dessin, bricolage, peu importe l’activité choisie, l’acte de créer avec ses mains stimule et favorise l’émergence d’idées nouvelles. Vous pouvez utiliser des objets comme de la pâte à modeler, des briques en plastiques, des capelas, des cartons colorés… pour mettre en scène votre cible et les infrastructures qui l’entourent. Enfin, n’hésitez pas à ouvrir des livres d’art ou de graphisme, d’histoires pour enfants, de paysages ou de voyages… afin de vous inspirer. Ce processus de création permet de faire émerger des idées complètement originales tout en procurant une satisfaction personnelle. Il rompt également la routine habituelle de rester devant son bureau pour chercher l’inspiration en surfant sur le web.
3. Réfléchir ensemble
Comme le dit si bien le proverbe africain « tout seul on va plus vite, ensemble on va plus loin. », la collaboration est une source d’inspiration infinie. Pour vos phases de brainstorming créatifs, entourez-vous de vos collègues ou d’autres artistes et créatifs. Ensemble, vous pourrez échanger des idées, vous donner des avis, vous faire des retours constructifs et vous soutenir mutuellement dans votre démarche créative. En effet, travailler seul sur un projet, sans prendre de recul, peut entraver la perception des points à améliorer. Parfois, une simple conversation peut déclencher une série d’idées qui vous aurait échappée si vous aviez été seul !
4. S’inspirer de l’existant
L’inspiration peut arriver de partout ! Veille connexe (ex : même problématique mais dans un autre domaine ou l’inverse), association d’idées… Observez le travail d’autres artistes, explorez différentes formes d’art, étudiez la concurrence. Cette démarche de « recherche inspirationnelle » vise à nourrir votre esprit créatif en découvrant de nouvelles techniques, styles ou concepts. L’observation vous permettra de comprendre ce qui fonctionne bien et ce qui pourrait être amélioré, vous donnant ainsi des pistes pour enrichir votre propre travail.
5. Savoir lâcher prise
La créativité n’arrive pas sur commande et peut être exigeante, voir épuisante. N’oubliez pas de vous accorder des pauses régulières pour vous ressourcer. Lorsque vous vous sentez bloqué ou que l’inspiration vous fait défaut. Sortez vous aérer, méditez, faites une promenade ou tout simplement faites autre chose que votre activité artistique principale. Parfois, lâcher prise momentanément permet à l’esprit de se reposer et de faire des connexions inconscientes, débloquant ainsi de nouvelles idées lorsque vous reprenez votre travail créatif.
Plus vous nourrirez votre créativité, plus elle grandira. Ces 5 conseils vous aideront à générer des idées innovantes, à répondre de manière personnalisée aux besoins de votre cible et à vous épanouir tout en cassant votre routine. Un dernier petit conseil pour conclure, dans vos concepts créatifs, « ne soyez pas plus raisonnables que vos clients. Poussez le curseur au maximum pour détecter l’aspérité remarquable. »
Maintenant que vous avez les clés en main pour développer votre créativité. A vous d’expérimenter !
Article rédigé par Lauranne BRILLANT, Motion designer chez Digisanté
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Selon le Rapport Digital France 2023 de We are social, le nombre de français connectés à Internet atteint 92,6% de la population. Ce qui représente une hausse de 1% par rapport à 2022 ou 600 000 personnes supplémentaires, dont plus de 80,5% de ces individus sont actifs sur les réseaux sociaux.
Cette croissance du nombre d’utilisateurs et du temps passé sur les plateformes engendre un impact environnemental évolutif des réseaux sociaux. Face à cette réalité, il devient impératif d’assumer une responsabilité envers ces services numériques largement adoptés, en évaluant et en minimisant leurs répercussions environnementales.
La quête d’un réseau social éco-responsable à l’échelle mondiale se pose comme une question évidente. Comment sensibiliser les développeurs d’applications, voire les utilisateurs, à cette préoccupation ?
Les 10 applications de réseaux sociaux, ayant un fil d’actualité, les plus populaires chez les français sont :
Facebook, Instagram, LinkedIn, Pinterest, Reddit, Snapchat, TikTok, Twitch, Twitter et Youtube.
Ainsi, Greenspector a utilisé les données statistiques de We are social datant de janvier 2023 comme base pour projeter les impacts environnementaux.
Top et flop des applications les plus utilisées en France
TikTok occupe la dernière position dans le classement sans grande surprise. En effet, l’application est très énergivore dès son ouverture, et échange beaucoup de données pendant le défilement du fil d’actualité. Ce volume de données échangées est en grande partie attribuable à la lecture en continu des vidéos, ainsi qu’à la présence abondante de publicités au sein de l’application. L’application précharge de nombreux contenus, si l’utilisateur est hors connexion, il peut tout de même accéder aux vidéos.
LinkedIn est l’application la moins impactante. Celle-ci n’échange qu’un très faible volume de données au chargement de l’application, ainsi que lors du scroll du fil d’actualité. Le fait que le réseau social soit axé sur le partage de posts textuels avec une faible quantité de photos et vidéos explique notamment ce score.
Selon le rapport annuel de We Are Social, le temps passé sur les réseaux sociaux est en moyenne d’1h55 par jour. Quand on projette l’impact environnemental sur une année pour chaque application, l’impact environnemental représente de 20 à 40 kg eqCO2 selon le réseau social. Cela représente 185km en voiture pour le réseau le moins sobre.
Et à l’international alors ?
Pour les presque 3 milliards d’utilisateurs de Facebook qui auraient une moyenne d’utilisation de ce réseau social de 2h31 par jour, la plateforme aurait une empreinte environnementale d’usage de plus de 281 000 tonnes eqCO2/jour soit plus de 102 millions de tonnes eqCO2 à l’année !
Pour Instagram, cela représenterait 262 000 tonnes eqCO2/jour, soit près de 96 millions de tonnes à l’année.
Alors… on fait quoi ?
Les applications offrant beaucoup de contenus multimédias sont très consommatrices d’énergie et demandent de nombreux échanges de données sur le réseau pour afficher ces contenus. En revanche, les contenus textuels sont beaucoup moins lourds à charger ou énergivores.
En conclusion, bien que les réseaux sociaux facilitent les échanges et l’accessibilité de l’information, ils ne sont pas totalement virtuels comme on pourrait le croire et posent la question de notre rapport à la consommation de ces applications. Les utilise-t-on réellement pour communiquer et pour une volonté de s’informer ou plutôt pour se nourrir d’une pluie d’informations et de contenus qui ne sont généralement pas désirés ou attendus ?
À l’heure où l’urgence climatique est de mise, il est temps d’examiner notre rapport à nos écrans et d’adopter des gestes écologiques, de réduire le temps passé en ligne et d’activer le mode sombre sur les applications mobiles.
Le petit tips de Digisanté
Si votre écran dispose de la technologie d’écran AMOLED, il devient intéressant d’activer le mode sombre pour réduire sa consommation !
Pour les applications riches en contenus textuels comme Twitter, LinkedIn et Facebook, le mode sombre est plus économique en énergie car il inverse les couleurs d’un bloc de texte, devenant ainsi de fines écritures blanches sur fond noir. En revanche, les images et vidéos ne subissent pas cette inversion de couleurs, ce qui signifie que les variations seront minimes lors de l’affichage de contenus multimédias.
Source : greenspector
Article rédigé par Arnaud Le Roux, développeur, webdesigner et référent accessibilité chez Digisanté
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Le test utilisateur, la clé d’une expérience digitale réussie !
11/12/2023
Véritable allié pour déceler les potentiels freins et vérifier si le projet correspond à la demande initiale. Le test utilisateur, c’est la méthode d’évaluation digitale incontournable pour une expérience utilisateur réussie.Lire la suite
80% des handicaps sont invisibles. Il peut s’agir d’atteintes liées à une maladie invalidante, d’un trouble sensoriel, psychique, cognitif, mais aussi d’autisme, etc.
Trop souvent, les handicaps invisibles sont incompris ou oubliés. Les nombreuses personnes concernées doivent faire face à des situations bloquantes dans la vie quotidienne mais également sur le web.
Aujourd’hui, nous allons faire un point sur le daltonisme qui touche entre 4 à 5% de la population et les obstacles que peuvent rencontrer ces personnes sur les sites internet.
Alors, qu’est-ce que le daltonisme ? Pourquoi est-ce parfois bloquant dans l’utilisation du web ? Et comment agir sur nos interfaces ?
01. Qu’est-ce que le daltonisme ?
Le daltonisme est une anomalie de la vision affectant la perception des couleurs. Il est généralement provoqué par un trouble fonctionnel d’un ou de plusieurs cônes de la rétine.
Il existe plusieurs formes de daltonisme et dans certains cas très rares, l’œil ne perçoit plus que des nuances de gris.
Quels sont les difficultés que peuvent rencontrer les daltoniens sur nos interfaces ?
02. Les problématiques que peuvent rencontrer les daltoniens
Pour les personnes souffrant de troubles de la vision des couleurs, la situation devient difficile lorsqu’une signification est associée à une couleur.
La déficience chromatique rend les couleurs difficiles à différencier. Il peut s’agir par exemple des couleurs de données dans un graphique, d’une carte géographique, de boutons ou encore des surfaces colorées qui peuvent rester cachées aux personnes atteintes de daltonisme.
Alors, comment agir sur nos interfaces pour les rendre accessible ?
03. Comment agir sur nos interfaces ?
Il est nécessaire de rendre les éléments lisibles et la couleur ne doit pas être un critère déterminant.
Plusieurs solutions sont possibles pour accompagner les daltoniens :
· Mettre en place des couleurs contrastées pour différencier les informations
· Créer des textures ou des motifs sur les couleurs
· Jouer avec les formes pour rendre l’information lisible
· Nommer les couleurs sur les visuels, ajouter un texte descriptif
· Créer des options ou des éléments dédiés pour adapter le contenu aux personnes daltoniennes
La gestion des couleurs en accessibilité est très importante mais pour accompagner les daltoniens, le design doit être accessible. C’est pourquoi, chez Digisanté, nous nous engageons à rendre nos interfaces accessibles aux plus grands nombres.
En 2021, nous avons fait le choix de nous spécialiser dans ce domaine en formant notre équipe de développeurs et de webdesigners à l’accessibilité numérique. Après une semaine de formation complète sur le sujet, nous avons lancé le développement d’un Template WordPress pour permettre de créer des sites accessibles.
Présentez-nous votre projet et nous serons ravis de vous guider dans la réalisation de celui-ci.
Article rédigé par Philomène HENRY, graphiste chez Digisanté.
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La dyslexie, un terme parfois encore méconnu et incompris. Longtemps laissé de côté, les tabous sont en train de se lever à ce sujet.
Alors, la dyslexie, qu’est-ce que c’est ?
Et surtout, en quoi, en tant qu’agence digitale experte de la santé et soucieuse de l’accessibilité numérique, c’est important de s’en soucier ?
La dyslexie, c’est quoi ?
La dyslexie se définit comme une confusion et/ou inversion de sons et de lettres. Ce trouble de la lecture se traduit par une difficulté à identifier certaines lettres et mots écrits. Souvent détectée à l’école, lors de l’apprentissage de la lecture, il est difficile de donner un chiffre officiel sur le nombre de français concerné par la dyslexie. Il existe d’autres dys… qui rendent difficile l’apprentissage à l’école… Peut-on en toucher 2 mots. Est-ce qu’il faut aussi s’en soucier pour l’accessibilité numérique ???
En quoi sommes-nous concernés chez Digisanté par les utilisateurs dyslexiques ou DYS ?
Pour faciliter la lecture aux personnes DYS, chez Digisanté, nous avons mis l’accent sur l’accessibilité numérique. Nos développeurs Arnaud & Karine sont en effet formés à l’accessibilité numérique et proposent sur une version adaptée de chaque site internet créé par l’agence.
Qu’est-ce que cela implique concrètement ? Nous proposons sur nos sites une police qui facilite la lecture : Open-Dyslexic, spécialement conçue pour les troubles DYS. Cette police permet de mieux distinguer les caractères entre eux. Quelles sont ses spécificités ?
- Elle est sans empattement (trait à l’extrémité de chaque caractère)
- La base de chaque caractère est plus grasse, permettant de mieux distinguer les lettres entre elles
- L’espacement entre les lettres est plus important pour une meilleure lisibilité
Vous l’aurez compris, en tant qu’agence digitale santé, nous avons à cœur de rendre le numérique accessible à tous. L’accessibilité numérique consiste améliorer la navigation sur un site Internet pour répondre aux besoins des tous les utilisateurs, en tenant compte des handicaps et des préférences d’utilisation.
Parce que vous aimez bien le voir, pour le croire 👉🏼 testez par vous-même notre version adaptée à la dyslexie en cliquant sur paramètre d’accessibilité de notre site Internet
Voici également un exemple de projet sur lequel nous avons œuvré pour l’accessibilité numérique :
Lors de la création de votre site web, c’est à vous de décider si vous souhaitez proposer des paramètres adaptés à l’accessibilité numérique et notamment à la dyslexie ! Nos équipes sont toutes sensibilisées à ce sujet alors n’hésitez pas à les contacter !
Articlé rédigé par Marie Lefief, Chef de projet digital chez Digisanté
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Le vrac, un mode de consommation qui se démocratise. Ce nouveau mode de distribution ne vous a certainement pas échappé mais avez-vous remarqué qu’il est désormais implanté en pharmacie ? Déjà mis en place par les épiceries bio et les grandes surfaces pour les produits ménagers et d’hygiène ou l’alimentaire, le fonctionnement est similaire en pharmacie pour les produits dermo-cosmétiques. Le vrac est un mode de distribution qui permet de réduire les emballages et par conséquent son impact sur l’environnement et parfois le prix. En tant qu’agence sensible à l’écologie, nous sommes allés à la découverte de cette nouvelle mode.
Le vrac en pharmacie, qui s’est lancé ?
De plus en plus de laboratoires souhaitent renforcer leur démarche RSE pour répondre aux attentes des consommateurs, l’objectif zéro-déchet en fait partie et le vrac est un bon moyen pour y parvenir.
De nombreuses marques se sont lancées dans cette transition. Parmi les marques qui ont sauté le pas, nous pouvons citer le laboratoire Pierre Fabre avec les marques A-Derma, Ducray et Klorane ainsi que les laboratoires Expanscience avec sa gamme bébé Mustela ou La Rosée.
Le vrac en pharmacie, quel fonctionnement ?
Cette nouvelle manière de repenser le retail en pharmacie nécessite une nouvelle logistique et organisation à la fois pour les laboratoires, pharmaciens mais aussi pour les consommateurs (qui ne doivent pas oublier de venir avec leur consigne !).
Ce mode de fonctionnement de recharge en libre-service réinvente le parcours d’achats du consommateur en pharmacie, les packagings y ont moins d’importance, l’agencement beaucoup plus. Le consommateur devient « consomm-acteur » à la fois en rapportant son flacon vide à remplir tout en affirmant son souhait de réduire son impact sur l’environnement.
Le vrac, une tendance qui n’a pas fini de s’étendre au domaine de la santé !
Et Digisanté dans tout ça ? L’écologie est un sujet qui tient à cœur à l’équipe. Notre rôle est de vous accompagner pour mettre en lumière les évolutions que vous proposez à votre clientèle. Notre objectif est de vous aider à informer et sensibiliser vos consommateurs aux innovations que vous proposez.
Pour consulter, nos autres articles consacrés à la pharmacie, c’est par ici :
- À l’ère du numérique, quel futur pour les pharmacies ?
- Découvrez 7 façons de développer votre pharmacie grâce au web !
- 5 supports pour promouvoir le site internet de votre pharmacie
- Les-5-raisons-pour-lesquelles-votre-pharmacie-doit-etre-presente-sur-les-reseaux-sociaux/
- 3 conseils pour la réussite de votre pharmacie sur Internet
Articlé rédigé par Marie Lefief, Chef de projet digital chez Digisanté
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11/12/2023
Véritable allié pour déceler les potentiels freins et vérifier si le projet correspond à la demande initiale. Le test utilisateur, c’est la méthode d’évaluation digitale incontournable pour une expérience utilisateur réussie.Lire la suite
Le Ségur du numérique en santé est le volet numérique du Ségur de la santé. En tant qu’agence spécialisée dans le digital et la santé, Digisanté s’est penché sur le Ségur du numérique de la santé pour vous en dire plus sur ce projet structurant et qui prend la forme d’une consultation des acteurs de la santé dédiée au numérique. L’ Agence du Numérique en Santé (ANS) et de la Délégation au Numérique en Santé (DNS) sont deux acteurs impliqués dans cette transformation numérique. L’échange de document de manière dématérialisée tout en assurant la sécurité et la confidentialité des données est le point clé de ce programme national.
Le Ségur du numérique en santé, qui est concerné ?
L’ensemble des acteurs de la santé (pharmaciens, professionnels de santé, établissements de santé, etc.) sans oublier les patients qui ont aussi un rôle à jouer sont concernés par le Ségur du numérique en santé.
Le Ségur du numérique en santé, pour quel objectif ?
Les données liées à la santé sont au cœur de la problématique du Ségur. Renforcer la sécurité et la fluidité du partage d’informations de santé sont les deux grandes thématiques du projet. Plus globalement, l’ambition du Ségur du numérique en santé est de favoriser et d’accélérer le développement du numérique dans le secteur de la santé.
Le Ségur du numérique en santé, quelles missions ?
Le passage au numérique des données de santé passe essentiellement par mon espace santé auquel ont accès à la fois les professionnels de santé et les patients. Mon espace santé, c’est un service numérique à l’initiative de l’Assurance Maladie et du ministère de la santé. Il permet aux utilisateurs d’accéder facilement à l’ensemble de leurs documents et informations de santé en toute sécurité tout en facilitant les échanges via une messagerie sécurisée. Avec le Ségur du numérique de la santé, l’objectif est d’alimenter et de faire de Mon espace santé, la référence en termes d’e-santé. Pour accélérer la modernisation du système d’informations en santé français, un investissement à hauteur de 2 milliards d’euros est consacré au Ségur du numérique en santé.
Et pourquoi le terme « Ségur » ?
Et si vous vous demandiez quelle est l’origine du terme « Ségur », nous avons la réponse ! Il fait référence à l’adresse du ministère de la Santé situé avenue de Ségur dans le 7e arrondissement de Paris.
Allier digital et santé, une problématique que connait bien Digisanté. En effet, communiquer sur ces sujets, c’est notre cœur de métier ! Au fil des ans, nous avons collaboré avec plusieurs entreprises dont l’ambition est également de proposer des services de santé innovants. Nous les avons accompagnées pour les aider à communiquer et mettre en avant leur projet. Pour en savoir + sur ces entreprises qui travaillent sur la digitalisation de la santé et développent de nouveaux outils numériques, rendez-vous sur :
Encore plus d’informations sur le ségur du numérique en santé par ici
Articlé rédigé par Marie Lefief, Chef de projet digital chez Digisanté